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René MAVOUNGOU PAMBOU

René MAVOUNGOU PAMBOU

La servitude avilit l’homme.
L’oppression dégrade l’homme.
Les anti-valeurs dépravent l’homme.
L’exclusion sociale l’accule à la misère.
L’anarchie et l’arbitraire détruisent la patrie.
La corruption et la concussion obèrent l’Etat.
L’ethnocentrisme entrave l’unité, la cohésion sociales.
La tyrannie instille la peur dans les cœurs et les esprits.
La dictature compromet les droits et libertés des citoyens.
Le coup d’Etat permanent n’est autre qu’un déni de la démocratie.
Le terrorisme d’Etat étant bien l’expression d’une culture de la mort.
La politique change l’homme, mais certainement pas pour le meilleur.
La dictature engendre des comportements de servilité et d’asservissement.


En somme, la fripouille félonne et criminogène aura ainsi réussi non seulement à usurper crapuleusement le pouvoir, ainsi qu’à s’approprier de notre bien le plus commun et de le muer en République bananière, mais c’est tout un peuple qui est pris en otage. C’est ainsi que moult humiliations, vexations, traitements dégradants et inhumains sont endurés au quotidien par les citoyens. De ce fait, le peuple congolais est donc allègrement opprimé, tyrannisé et martyrisé. Tel est le drame qui se joue au Congo-Brazzaville, un pays qui, en raison de redoutables fléaux inoculés dans le tissu social et d’une militarisation outrancière du pouvoir, se trouve littéralement dans l’œil du cyclone!

La suite sur Star du Congo

Tag(s) : #Brazzaville
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